Pourquoi rejoindre une équipe du Rosaire ?

Parce que tout va vite et qu’il est bon de s’arrêter un peu et de méditer.
Parce que l’individualisme nous isole et qu’il est bon de trouver un groupe d’ami(e)s.
Parce que les soucis nous abattent et qu’il est bon de se tourner vers Marie, notre mère du Ciel.
Parce qu’on a tant à demander à Dieu et qu’il est bon de prendre le temps de formuler notre prière.
Parce qu’une équipe du Rosaire vous attend déjà et que votre chaise est déjà prête.

            N’hésitez pas ! prenez contact !

                  – avec Marie-Danièle SONCOURT, responsable du secteur de Compiègne, tel : 06 10 05 43 16

Aux noces de Cana, Marie n’a pas demandé à Jésus de changer l’eau en vin. Elle a simplement dit : “Ils n’ont plus de vin !”

De même, les équipes du Rosaire présentent dans la prière les difficultés de la vie, tout comme l’enfant qui appelle sa mère quand il ne va pas bien. Marie sait si bien nous laisser saisir par la main de Dieu qui nous conduit.

N’a-t-elle pas dit à Pontmain : “Priez mes enfants ! Mon Fils se laisse toucher.”

Dans l’Oise, les équipes du Rosaire, c’est :

     – 185 équipes dont 30 sur le secteur de Compiègne

     – 1500 membres dont 250 sur le secteur de Compiègne

      – le plus important mouvement d’Eglise du diocèse       

Le mouvement est rattaché à la région Ile-de-France, en lien avec les structures nationales. Il est animé au niveau du diocèse par :

  • le Père Serge HALETTE, aumônier diocésain
  • Thierry GAILLARD, responsable diocésain
    • tel 03 44 46 73 61 /06 08 51 44 66
    • thierry.gaillard32@sfr.fr
  • Patricia HELOU, responsable adjointe diocésaine
  • Site national : www.rosaire.org

Les équipes du Rosaire…

                    ça s’adresse à qui ?

Le mouvement des équipes du Rosaire s’adresse à tout chrétien, homme ou femme, pratiquant ou non pratiquant, de tout âge. Le mouvement est adapté à la fois aux personnes qui ont pris de la distance avec leur foi chrétienne, comme à celles qui souhaitent approfondir le sens de leur attachement à l’Eglise.

                            ça se passe où ?

En général, au domicile de l’un ou l’autre des membres de l’équipe car Dieu n’habite pas seulement les tabernacles. Il s’invite aussi, en ami, dans nos foyers.

Parfois, dans une église ou une chapelle, ce qui permet de donner vie aux bâtiments de l’Eglise qui sont autant de signes pour le monde.

                          ça se passe comment ?

A la fois chaque mois et chaque jour.

Chaque mois, l’équipe se réunit pendant environ 1 heure 30. Et la réunion comprend 3 temps :

          – un temps de méditation avec un livret mensuel

          – un temps de prière aux intentions personnelles de chacun, du quartier et même du monde.

          – un temps de convivialité et d’amitié qui soude l’équipe.

Chaque jour, chacun est invité, s’il le désire, à méditer l’un des 20 mystères du Rosaire (il faut entendre par mystère un événement important de la vie du Christ) et à prier une dizaine de chapelet.

Du chapelet au rosaire… un peu d’étymologie !

Au moyen-âge, chapelet était le diminutif  de chapel (petit chapeau). “Tirer son chapeau”, c’est saluer respectueusement. Le “Je Vous Salue Marie” commence par une salutation à Marie.

L’attachement à Marie fut très vite si grand que les chrétiens la coiffèrent d’une couronne de roses. Chaque “Je Vous Salue Marie” est comme une rose offerte à Marie. 

C’est ainsi que du chapelet à la couronne de roses est née la prière du Rosaire.

Saint Dominique a expérimenté la prière du Rosaire

Lors des guerres du XIIIème siècle, on convertissait d’autorité les populations. Saint-Dominique s’en émut et reçut de la Vierge Marie la demande de convertir non plus par les armes mais par la force de la simple prière du Rosaire.

Depuis, l’ordre des Dominicains n’a eu de cesse de développer la mission en particulier par la prière mariale et il accompagne encore le mouvement des Equipes du Rosaire.

Les fondements historiques du mouvement ont un parallèle avec la situation d’aujourd’hui

En 1822, en réaction à son temps, Pauline Jaricot fonda l’oeuvre de la Propagation de la Foi, qui deviendra ensuite le Rosaire Vivant. Elle était convaincue que l’évangélisation ne concernait pas exclusivement le clergé mais aussi tout homme et toute femme de bonne volonté, quel que soit son niveau d’instruction. Jésus n’a-t-il pas lui-même confié son Eglise à Pierre qui n’était qu’un simple pêcheur du lac de Tibériade ?

Pauline Jaricot constitua alors des petites équipes de 15 femmes qui, à l’exemple de Marie, s’engageaient à prier et à trouver d’autres personnes. Ces ouvrières ne connaissaient que des prières simples dont le “Je Vous Salue Marie”. Elles ont alors expérimenté la force de cette petite prière, à l’exemple de Saint Dominique.

C’est le Père dominicain Joseph Eyquem qui réorganisa au XXème siècle le mouvement pour aboutir à la forme actuelle des Equipes du Rosaire.

Aujourd’hui, avec la pensée moderne et les changements de mode de vie, notre société tend à s’éloigner de Dieu et à oublier la prière. Les Equipes du Rosaire contribuent toujours, avec la force du Je Vous Salue Marie, d’établir des liens entre l’Eglise et le monde. 

https://www.catoco.net/?q=mouv/equipes-du-rosaire